mercredi 11 décembre 2013

lundi 2 décembre 2013

La Loi de la vie : audio (Jack London)



Ce court récit, La Loi de la vie, est une nouvelle de Jack London écrite en 1901 sous le titre original "The law of life" et paru en 1932 dans L’Œuvre.
Koskoosh, un vieillard, membre d’une tribu de nomades, est laissé seul au milieu de la neige alors que les siens sont forcés de lever le camp pour aller survivre ailleurs. Trop encombrant, destiné à mourir bientôt, il ne peut pas et ne doit pas venir avec les autres.
Traduction : Louis Postif (1887-1942).

jeudi 21 novembre 2013

La jubilation mélancolique de Guy Karl



En lisant ce texte de Guy Karl sur son site j'ai réalisé qu'il n'existe une vraie jubilation que dans la mélancolie, que les optimistes ne m'ont jamais apportés d'autres sentiments que la tristesse. Peut être suis je passé à côté d'un auteur ? Je conseille vivement la lecture de ceci pour qui souhaite un peu de joie, de jubilation désespérée :  

LA PROMENADE du MELANCOLIQUE : 
PHILOSOPHIE de la NON PENSEE
http://guykarl.canalblog.com/archives/2011/04/28/7134497.html

Ca peut être un peu long à afficher car c'est un livre (essai)

vendredi 15 novembre 2013

mercredi 13 novembre 2013

NDE de l’évêque saint Sauve en 500

Une fois attaqué d’une violente fièvre, il gisait privé de respiration sur son lit, voilà que soudainement la cellule, éclairée d’une grande lumière, fut ébranlée. Sauve ayant levé les mains aux cieux en forme d’actions de grâces, rendit l’âme.

Les moines mêlant leurs gémissements à ceux de la mère de leur abbé, emportent le corps du mort, le lavent dans l’eau, le couvrent de vêtements, le placent dans un cercueil, et passent la nuit à gémir et à chanter des psaumes.

Le lendemain matin, la cérémonie des obsèques étant préparée le corps commença à s’agiter dans le cercueil, et voilà qu’au grand effroi des méchants, Sauve, comme sortant d’un profond sommeil, se leva, ouvrit les yeux, et, les mains élevées, dit : Ô Seigneur miséricordieux ! pourquoi m’as-tu fait revenir dans ce lieu ténébreux de l’habitation du monde, lorsque ta miséricorde dans le ciel m’était meilleure que la vie de ce siècle pervers ?

Comme tous restaient stupéfaits, lui demandant ce que c’était qu’un tel prodige, il ne leur répondit rien. Étant sorti du cercueil, et ne sentant plus du tout le mal dont il avait souffert auparavant, il resta trois jours sans boire ni manger.

Le troisième jour, ayant rassemblé les moines et sa mère, il leur dit : Écoutez, mes très chers frères, et sachez que tout ce que vous voyez dans ce monde n’est rien ; mais, selon la parole du prophète Salomon, tout est vanité [Eccl., 1, 2]. Heureux celui qui mène sur la terre une conduite qui lui fisse mériter de voir la gloire de Dieu au ciel !

Après ces mots, il hésita pour savoir s’il en dirait davantage ou s’il garderait le silence. Comme il se taisait, tourmenté par les prières de ses frères pour qu’il leur expliquât ce qu’il avait vu, il dit donc : Lorsqu’il y a quatre jours vous m’avez vu mort dans ma cellule ébranlée, je fus emporté et enlevé au ciel par des anges , de sorte qu’il me semblait que j’avais sous les pieds, non seulement cette terre fangeuse, mais aussi le soleil et la lune, les nuages et les astres ; on m’introduisit ensuite par une porte plus brillante que ce jour dans une demeure remplie d’une lumière ineffable et d’une étendue inexprimable, dont tout le pavé était resplendissant d’or et d’argent ; elle était obstruée d’une si grande multitude de différents sexes, que, ni en longueur, ni en largeur, les regards ne pouvaient traverser la foule.

Quand les anges qui nous précédaient nous eurent frayé un chemin parmi les rangs serrés, nous arrivâmes a un endroit que nous avions déjà considéré de loin et sur lequel était suspendu un nuage plus lumineux que toute lumière ; on n’y pouvait distinguer ni le soleil, ni la lune , ni aucune étoile, et il brillait par sa propre clarté beaucoup plus que tous les astres ; de la nue sortait une voix semblable à la voix des grandes eaux.

Moi, pauvre pécheur, j’étais salué humblement par des hommes en habits sacerdotaux et séculiers, et qui étaient, comme me l’apprirent ceux qui me précédaient, des martyrs et des confesseurs que nous adorons ici-bas avec le plus profond respect.

M’étant placé dans l’endroit qu’on m’indiqua, je fus inondé d’un parfum d’une douceur excessive, qui me nourrit tellement que je n’ai encore ni faim ni soif. J’entendis une voix qui disait : Qu’il retourne sur la terre, car il est nécessaire à nos Églises.

J’entendais une voix, car on ne pouvait voir celui qui parlait. M’étant prosterné sur le pavé, je disais en gémissant : Hélas ! hélas ! Seigneur, pourquoi m’as-tu fait connaître ces choses si je devais en être privé ? Voilà qu’aujourd’hui je suis rejeté de devant ta face pour retourner dans un monde fragile, et ne pouvoir plus revenir ici.

Je t’en conjure, Seigneur, ne détourne pas de moi ta miséricorde ; je te supplie de me laisser habiter ce lieu, de peur qu’après en être sorti je ne périsse ; et la voix qui m’avait parlé dit : Vas en paix, car je suis ton gardien jusqu’à ce que je te reconduise ici. Ayant donc laissé mes compagnons, je descendis en pleurant, et sortis par la porte par où j’étais entré.

A ce discours tous restèrent stupéfaits, et le saint de Dieu recommença à dire avec larmes : Malheur à moi qui ai osé révéler un tel mystère ! Voilà que le doux parfum dont j’avais été embaumé dans le lieu saint, et qui m’a soutenu pendant trois jours sans boire ni manger, s’est éloigné de moi.

Ma langue est couverte de blessures déchirantes, et si enflée qu’elle me semble remplir toute ma bouche ; et je sais que j’ai déplu à Dieu mon Seigneur en divulguant ces secrets.

Mais, Seigneur, tu sais que je l’ai fait dans la simplicité de mon coeur, et non dans l’orgueil de mon esprit. Je te prie donc de me pardonner, et de ne pas m’abandonner selon ta promesse. Il dit et se tut ; puis il pria, mangea et but.

En écrivant ceci, je crains que quelque lecteur ne le trouve incroyable, selon ce qu’a écrit Salluste [Catilina, III] dans son histoire : Quand on rappelle la vertu et la gloire des grands hommes ; chacun accueille sans peine ce qu’il croit pouvoir faire lui-même aisément ; mais il regarde comme faux ce qui lui parait au dessus de ses forces.

J’atteste le Dieu tout-puissant que j’ai entendu dire de la propre bouche de saint Sauve ce que je raconte ici.

 http://remacle.org/bloodwolf/historiens/gregoire/francs7.htm

NDE témoignage inédit

Qu'est ce que la vie et quand commence t elle ?


Voyage dans l'espace temps_S04E04-Quand... par grandeetoile

vendredi 8 novembre 2013

Japon et sexualité

Ne pas se fier au titre de la vidéo. C'est d'une belle lucidité bien Japonaise, sensible et très touchante.



Misère sexuelle au Japon (Documentaire) par TitiToto01

mardi 22 octobre 2013

mardi 15 octobre 2013

François Villon et le Paris au XVe siècle. (JP Bourre)




Jean-Paul Bourre nous parle de François Villon et de Paris au XVe siècle.


Lien Vidéo

mardi 8 octobre 2013

mercredi 2 octobre 2013

mardi 1 octobre 2013

Enlevement O.V.N.I.


Paranormal witness_Enlèvement((chroniques... par grandeetoile

Thermodynamique de l'évolution

Conférence donnée à l'IAP le 5 octobre 2010, par François Roddier, astrophysicien.
"Tout évolue : les étoiles, la Terre, les espèces animales et végétales naissent et meurent...
Quelles sont les lois de l"évolution ?"
Les 4 parties de l'exposé de François Roddier :
les lois de la thermodynamique
l'évolution de l'Univers
l'évolution darwinienne
l'évolution de l'humanité.



vendredi 27 septembre 2013

Libre arbitre ? (Article)

Le libre arbitre a longtemps été un sujet de discorde entre neuroscientifiques et philosophes. Mais un programme de recherche lancé en 2010 pourrait rapprocher les spécialistes des deux disciplines.


http://www.courrierinternational.com

Autre lien

mardi 24 septembre 2013

Sortir de l'Europe : Mélenchon & Sapir

Le Bouddhisme une philosophie du bonheur ? (livre)

Quatrième :
"Le bouddhisme est l’objet de toutes sortes de malentendus : il ne serait pas une religion mais une philosophie ; la méditation se réduirait à la pleine conscience ; la compassion ne serait qu’ une velléité du coeur - et lorsque nous évoquons l'ego, nous le confondons avec celui des psychologues.

S'employant à défaire ces croyances, ce livre fait aussi la lumière sur des notions délicates comme celle du karma, interprété à tort comme une prédestination, ou celle de réincarnation, terme en fait inapproprié. Il s’interroge sur l’importance de la relation maître-disciple, sur l’éthique de la non-violence et le végétarisme. Et il s'arrête sur cette question essentielle : le bouddhisme est-il réductible à un outil de développement personnel ? Quel bonheur vise-t-il au juste ? Car tel est l'enjeu : le bouddhisme ne court-il pas le risque d’être victime d’une instrumentalisation ? Sait-on encore en Occident ce qu’implique l’engagement dans une quête spirituelle ? En d’autres termes : comment transmettre au monde contemporain la sagesse libératrice du Bouddha sans la diluer, la déformer ou la figer ?
À travers une série de questions remettant en cause lieux communs et a priori, cet ouvrage passionnant propose une lecture éclairée et éclairante du bouddhisme afin d’en restaurer la force et d’en affiner la connaissance.
Philippe Cornu, l’un des spécialistes universitaires du bouddhisme les plus reconnus en France, est professeur à l’UCL (Belgique). Il est notamment l’auteur de La Terre du Bouddha (Seuil, 2004), du Dictionnaire encyclopédique du Bouddhisme (Seuil, 2006), et de plusieurs traductions du tibétain dont celle du Livre des morts tibétain (Buchet-Chastel, 2009)"

extrait :

"Si nous sommes déjà dés bouddhas, pourquoi faut-il pratiquer?

Le Mahâyâna et le Vajrayâna affirment que tous les êtres ont en eux la nature de bouddha (tathâgatagarbha). C'est-à-dire que depuis toujours ils ont en eux cette nature éveillée et inconditionnée. N'étant pas conditionnée, leur nature ultime est pure, et rien dans nos agissements ou nos pra­tiques ne saurait la dégrader ni l'améliorer. Pourtant, si les enseignements nous disent qu'au fond de nous-mêmes nous sommes des bouddhas déjà parfaits, notre quotidien montre sans mal que nous n'avons rien d'un Éveillé libéré de la souffrance !

Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que notre nature ultime ou nature de bouddha nous est occultée par la masse de nos tendances habituelles et par deux voiles, celui des émotions et celui de l'ignorance. À cause de cela, nous n'avons pu jusqu'à présent nous identifier qu'à un soi illusoire et lui porter crédit. Cette cohabitation de l'ignorance et de la sagesse en notre esprit fait qu'en pratique nous n'avons jamais pu exprimer notre nature éveillée. Ainsi conçu, le cheminement spirituel se présente comme le dévoilement de notre nature profonde au prix de l'abandon de toutes nos anciennes structures et tendances égotiques. L'Éveil n'est pas quelque chose de nouveau à construire, il n'est pas un but à atteindre dans un avenir hypothétique mais un trésor caché en nous que nous n'avons jamais pu découvrir jusqu'à présent. Il n'y a rien à édifier pour vivre cette nature éveillée qui ne résulte d'aucun activisme spirituel. On ne peut donc aborder la voie vers l'Éveil comme on aborde la vie, avec des espoirs, des craintes ou des stratégies sécuri­santes. Toute tentative en ce sens reviendrait à consolider l'illusion d'un ego conquérant et à bloquer l'accès à notre vraie nature. Le but spirituel n'est pas lointain, il est déjà là, en nous depuis toujours. C'est le projet même d'Éveil qui est suspect. Faut-il alors stopper tout pratique, s'asseoir tranquillement et attendre que l'Éveil se produise tout seul ? Cette attente serait une passivité sans vertu.

Telle est l'apparente aporie. D'un côté, s'activer pour progresser sur la voie paraît voué à l'échec. De l'autre, il faudrait ne rien faire, mais alors rien ne se passe. Dans un cas comme dans l'autre, on ne peut que prolonger l'illusion d'un soi tantôt affairé tantôt passif. Comment dès lors envi­sager le cheminement spirituel?

Cette apparente contradiction est liée à la confusion entre deux perspectives. Du point de vue de la nature éveillée, celle-ci est en nous depuis toujours, inconditionnée et donc au-delà du temps. Les textes nous disent que cette nature de bouddha, primordialement pure et parfaite, ne peut être ni améliorée par une quelconque pratique vertueuse ni dégra­dée par nos actes négatifs. Rien ne la perturbe. Elle n'est ni nouvellement apparue ni sujette à évolution : elle est ce qui en nous est primordialement éveillé, la sagesse née d'elle-même. Mais du point de vue du pratiquant, cette nature est pour le moment inaccessible parce que recouverte par les productions de l'esprit ordinaire entièrement captivé par les objets des sens et la préoccupation de soi.

Elle n'est donc pas manifeste et tout se passe comme si elle n'existait pas. S'il veut favoriser son émergence et sa pleine mani­festation, le pratiquant doit donc suivre un enseignement et en appliquer les méthodes. Tout véhicule comporte trois volets : la Base, la Voie et le Fruit. La Base est le potentiel, qui doit être actualisé en Fruit au moyen de la Voie. Ici, la Base à actualiser est la nature ultime de l'esprit. La Voie consiste, dans l'optique du Chan/Zen comme dans celle du Vajrayâna et du Dzogchen, à reconnaître la Vue, c'est-à-dire à découvrir directement en soi cette nature, puis à stabiliser la Vue grâce à la méditation. «Stabiliser» l'état naturel ne concerne évidemment pas la nature elle-même, laquelle est immuable, mais le pratiquant, qui n'est pas stable au regard de sa nature.

A tout moment les distractions l'en éloignent et seul l'exercice de l'attention lui permet de la retrouver. En veillant à y revenir et à s'y maintenir, il finira par y demeurer sans effort. Simple en apparence, cette pratique exige beaucoup de persévérance de la part du méditant. Il n'est pas facile de ne plus être distrait de sa vraie nature, car depuis des temps immémoriaux, notre esprit est entière­ment tourné vers le monde extérieur et non vers sa source, la nature éveillée. Pour renverser cette habitude, il faut, après s'être assuré d'avoir reconnu cette nature, appliquer à tout moment une attention et une vigilance telles que ni les objets des sens ni les pensées ni les émotions ne nous en éloignent.

Quand il retrouve cet état, le méditant ne doit plus rien modifier ni corriger, car toute activité volontaire l'en ferait sortir. Le Fruit, l'Éveil, est atteint quand la Base est plei­nement actualisée : alors seulement on peut parler de non-méditation, de détente sans effort, d'état inaltéré et sans artifices...

Tel est donc le paradoxe : pour accéder à sa vraie nature qui est au-delà de tout effort et de toute altération, un prati­quant doit redoubler d'efforts sur la voie. Pour cette raison, la voie doit être prise au sérieux par ceux qui s'engagent dans l'approche directe. À défaut, la bouddhéité reste inatteignable, comme un simple rêve qui ne ferait que pro­longer l'illusion dans laquelle nous sommes actuellement plongés."

Philippe Cornu

Apollo 11


Apollo 11 Histoire Inédite et ovni par bluekonnie

vendredi 13 septembre 2013

jeudi 12 septembre 2013

mercredi 4 septembre 2013

mercredi 28 août 2013

NDE


Au-Delà De Notre Vue par 007ovni

AC / DC en live super qualité



Le batteur cloppe au bec



lundi 26 août 2013

mercredi 7 août 2013

dimanche 4 août 2013

lundi 29 juillet 2013

Qu'est-ce que la vie ? (livre de Schrödinger)

Au chapitre VII, il soutient que « l'ordre issu de l'ordre » n'est pas une nouveauté absolue en physique. En fait, c'est même un principe plus simple et plus plausible. Cependant la nature suit celui de « l'ordre issu du désordre », à quelques exceptions près comme le mouvement des corps célestes ou le comportement d'objets mécaniques comme les montres. Mais même dans ces cas-là des forces thermiques et frictionnelles interviennent. Le degré auquel un système suit un fonctionnement plutôt mécanique ou plutôt statistique dépend de la température. Chauffée, la montre cesse de fonctionner parce qu'elle fond. En sens inverse, quand la température s'approche du zéro absolu tout système se comporte de façon de plus en plus mécanique. Certains atteignent ce type de fonctionnement relativement vite, la température ambiante étant déjà pour eux l'équivalent pratique du zéro absolu. Schrödinger conclut ce chapitre et l'ensemble du livre par des spéculations philosophiques sur le déterminisme, le libre arbitre et le mystère de la conscience humaine. Il se sent proche de la conception hindoue du Brahman, dans laquelle la conscience de chaque individu n'est qu'une manifestation d'une conscience unitaire qui habite l'univers entier. Dans le paragraphe final, il souligne que ce que signifie le « Je » n'est pas la collection des évènements vécus, mais « précisément la toile sur laquelle ils sont collectés. » Si un hypnotiseur réussit à effacer toutes les réminiscences du passé, écrit-il, il n'y aura pas de perte d'existence personnelle - « et jamais il n'y en aura. »
Wikipedia

vendredi 26 juillet 2013

jeudi 25 juillet 2013

dimanche 16 juin 2013

Le ciel est bleu ? (Zen)

Il y a très longtemps, quelqu'un vous a dit : « Le ciel est bleu. » Et depuis vous avez toujours transporté cette idée avec vous.

Un chien ne dit jamais : « Le ciel est bleu ». Les chats ne disent jamais : « Les arbres sont verts ». Un chien ne dit jamais « Je suis un chien ».

Les chats ne savent pas qu'ils sont des chats. Les êtres humains fabriquent tout et se disputent ensuite à ce sujet.

Leur vue est une vue erronée. Ils fabriquent la couleur, la taille, la forme, le temps, l’espace, les noms et les formes. Les êtres humains fabriquent la cause et l’effet, la vie et la mort, la venue et le départ.

Originellement, ces choses n'existent pas. Tout vient de notre pensée : notre pensée fabrique chaque phénomène. Ce n'est rien de plus que l'idée de quelqu'un d'autre.

Les Américains ont une idée américaine : ils disent dog. Les Coréens ont une idée coréenne : ils n'appellent pas ça dog mais gye . Lequel des deux est correct ? Pour avoir la bonne réponse, allez donc demander à un chien : « Êtes-vous un chien ? ». Sa réponse risque d'être intéressante.

Si, pour la transformer en sagesse, nous voulons digérer toute notre compréhension des choses, nous devons retourner à notre esprit avant le moment où s'est élevée la première pensée.

Cet état n'a ni nom ni forme. Certains l'appellent : esprit, nature, substance, Dieu, soi, Bouddha, âme ou conscience.

Mais originellement cet état n'a pas de nom, pas de forme, parce qu'il se situe avant la pensée. Aussi, ouvrir la bouche pour nommer quoi que ce soit, est déjà une faute grave.
 Source

Saut quantique, temps, espace etc

jeudi 13 juin 2013

ADO FM Podcasts de BOB



Toutes les émissions de BOB : http://bvdtlv.blogspot.fr/

Pour les amoureux du mystère. Beaucoup de choses intéressantes ou non. A chacun de choisir ce qui lui convient. Belle initiative. Bob essaye de laisser la parole en toute objectivité.

mercredi 5 juin 2013

jeudi 18 avril 2013

Genèse, 6


1 Or, quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la terre, et que des filles leur naquirent,

2 les fils de la race divine trouvèrent que les filles de l'homme étaient belles, et ils choisirent pour femmes toutes celles qui leur convinrent.

3 L'Éternel dit: "Mon esprit n'animera plus les hommes pendant une longue durée, car lui aussi devient chair. Leurs jours ,seront réduits à cent vingt ans." 

4 Les Nefilim parurent sur la terre à cette époque et aussi depuis, lorsque les hommes de Dieu se mêlaient aux filles de l'homme et qu'elles leur donnaient des enfants. Ce furent ces forts d'autrefois, ces hommes si renommés.

5 L'Éternel vit que les méfaits de l'homme se multipliaient sur la terre, et que le produit des pensées de son coeur était uniquement, constamment mauvais;

6 et l'Éternel regretta d'avoir créé l'hommesur la terre, et il s'affligea en lui-même.

7 Et l'Éternel dit: "J'effacerai l'homme que j'ai créé de dessus la face de la terre; depuis l'homme jusqu'à la brute, jusqu'à l'insecte, jusqu'à l'oiseau du ciel, car je regrette de les avoir faits.

8 Mais Noé trouva grâce aux yeux de l'Éternel.

9 Ceci est l'histoire de Noé. Noé fut un homme juste, irréprochable, entre ses contemporains; il se conduisit selon Dieu.

10 Noé engendra trois fils: Sem, Cham et Japhet.

11 Or, la terre s'était corrompue devant Dieu, et elle s'était remplie d'iniquité.

12 Dieu considéra que la terre était corrompue, toute créature ayant perverti sa voie sur la terre.

13 Et Dieu dit à Noé: "Le terme de toutes les créatures est arrivé à mes yeux, parce que la terre, à cause d'elles, est remplie d'iniquité; et je vais les détruire avec la terre.

14 Fais-toi une arche de bois de gôfèr; tu distribueras cette arche en cellules, et tu l'enduiras, en dedans et en dehors, de poix.

15 Et voici comment tu la feras: trois cents coudées seront la longueur de l'arche; cinquante coudées sa largeur, et trente coudées sa hauteur.

16 Tu donneras du jour à l'arche, que tu réduiras, vers le haut, à la largeur d'une coudée; tu placeras la porte de l'arche sur le côté. Tu la composeras d'une charpente inférieure, d'une seconde et d'une troisième.

17 Et moi, je vais amener sur la terre le Déluge - les eaux - pour détruire toute chair animée d'un souffle de vie sous les cieux; tout ce qui habite la terre périra.

18 J'établirai mon pacte avec toi: tu entreras dans l'arche, toi et tes fils, et ta femme et les femmes de tes fils avec toi.

19 Et de tous les êtres vivants, de chaque espèce, tu en recueilleras deux dans l'arche pour les conserver avec toi: ce sera un mâle et une femelle.

20 Des oiseaux selon leur espèce; des quadrupèdes selon leur espèce; de tout ce qui rampe sur la terre, selon son espèce, qu'un couple vienne auprès de toi pour conserver la vie.

21 Munis-toi aussi de toutes provisions comestibles, et mets-les en réserve: pour toi et pour eux, cela servira de nourriture.

22 Noé obéit, tout ce que Dieu lui avait prescrit, il l'exécuta ponctuellement.

http://www.sefarim.fr/

Apparition trop précoce de la vie sur Terre ?


L’évolution humaine ne se produit pas seulement dans le génome, il se produit “épigénétiquement”, ou dans l’esprit, alors que la technologie, la langue et la mémoire culturelle deviennent plus complexes. La complexité fonctionnelle des organismes (est) partiellement codée dans le génome héréditaire et partiellement dans l’esprit périssable 
En appliquant la loi de Moore, une théorie initialement conçue pour expliquer le développement technologique, à la vie, les généticiens ne simplifie pas l’évolution, ils reconnaissent son extraordinaire complexité. 
Même si certains doutent des conclusions de Sharov et de Gordon, les scientifiques se tiennent à leurs conclusions. 
La contamination par des spores bactériennes de l’espace semble l’hypothèse la plus plausible qui explique l’apparition précoce de la vie sur Terre.

==> GURUMED.ORG <==

Doc U.FO


Toute la vérité sur les ovnis par grandeetoile

vendredi 5 avril 2013

Lama Yéshé Losal Rimpoché (sortie du corps)

A noter son expérience de voyage hors du corps lorsqu'il a vu l'ile en Ecosse.

En Ecosse, rencontre avec lama Yéshé Losal Rimpoché, frère d'Akong Rimpoché et abbé du grand monastère tibétain Samyé Ling. A ce titre, il oeuvre à l'organisation de celui-ci tout en parcourant le monde afin de dispenser des enseignements bénéfiques au plus grand nombre.



Sagesses Bouddhistes - 2013.03... par vchristophe

Sortie Astrale et Vie après la mort (Ado FM)


Sortie de corps (Francis Bourcher) :


Cas de sortie du corps (Roger Cellier) :



Radio ADO

mercredi 27 mars 2013

Qui suis-je? - Principe général du dzogchen


Le problème que nous essayons de résoudre dans tout le dharma et en particulier dans le dzogchen est un problème de localisation.

Quelle est la nature du lieu d’être? D’une manière générale, nous avons l’impression que « j’habite ici. Je suis dans mon corps.

Mon corps est ici dans cette pièce. » Et quelle est la situation de ce lieu? De quoi est-il construit?

S’il n’a pas de construction solide, alors les notions de « je » sur lesquelles nous nous reposons et toutes les actions qui viennent de là seront peu fiables.

Il y a de nombreux exercices en lien avec cela, mais la première chose est d’enquêter sur notre nature. Dans le dzogchen, nous sommes toujours en train d’essayer de nous observer.

Maintenant, s’observer soi-même peut paraître facile.

Linguistiquement, cela semble plutôt simple. Comme: « Observe-toi, observe tes pieds. » Et donc si nous voulons observer nos pieds, ce n’est pas difficile. Nous baissons le regard et les voici. Mais si vous voulez vous observer vous-mêmes, vous devez tout d’abord vous trouver afin d’observer. Ainsi, pour nous trouver nous devons chercher, et si nous nous mettons à chercher, que cherchons-nous?

Si nous admettons que nous n’avons jamais vu notre propre visage, alors ce que nous cherchons est simplement une construction de représentations, et nous pouvons donc nous retrouver en train de courir après nos suppositions, puis de les réaliser. Nous avons l’habitude d’observer les choses. Et si nous nous observons nous-mêmes de la manière dont nous observons les choses, il ne fait aucun doute que nous nous présenterons à nous-mêmes comme une chose, parce que c’est ce que nous faisons depuis le commencement même du samsâra. C’est cela, le samsâra.

Ainsi, ce que nous devons vraiment faire, c’est développer une nouvelle forme d’observation de soi, une forme qui ressemble plus au fait de frayer avec nous-mêmes. Soyez simplement là tandis que vous vous « moi-ifiez », en observant ce processus de « moi-ification ». Parce que si ce n’est pas vous qui vous «moi-ifiez », qui donc le fait? Dans le dzogchen, on appelle cela « rester avec celui qui fait ce qui se passe- quoi que ce soit ».

Si des pensées surviennent, restez avec celui qui pense les pensées qui surviennent. Si des émotions surviennent, restez avec celui qui éprouve les émotions. Si aucune pensée et aucune émotion n’émerge, restez avec celui qui est complètement engourdi et stupide. Parce que celui qui accomplit cette activité existe quelque part. Où existe-t-il? En observant attentivement, vous parviendrez à voir le « je » venir à l’existence. Mais si vous n’observez pas attentivement, ce point de manifestation de celui qui fait se présentera toujours comme s’il était le site éternel du « je » : « Je suis moi ! » Et ma saisie de ce « je » ferme la porte de la libération.

Le problème essentiel est que, depuis le début, l’esprit est ouvert, très détendu, non-né, incréé, et que cependant l’expérience de l’esprit est : « Je suis moi. Je ne suis pas vous. Laissez-moi tranquille. Donnez-moi ce que je veux! » Depuis le tout début, nous ne savons pas qui nous sommes. Le fait de penser « je suis moi » signifie que je n’ai pas réalisé qui je suis. Le «moi » est le point objectivé, raffiné, du « je », qui apparaît comme le curseur sur un écran d’ordinateur, la petite flèche, la pensée qui vous montre où vous êtes et, comme ce petit point sur l’ordinateur, il n’est pas quelque part, il n’a pas d’existence réelle. Il est sur l’écran. L’écran n’est pas quelque part. Il est semblable à du cristal liquide, une matrice de points qui révèle le royaume illusoire du cyberespace.

Ou dans un exemple traditionnel : si vous regardez le ciel et que vous voyez un oiseau qui vole, vous voyez la pointe du bec de l’oiseau. Mais où est cette pointe? L’oiseau se déplace dans le ciel. Il n’y laisse pas de trace, et vous ne pouvez saisir le point où il se trouve, parce qu’il se déplace toujours. Ce que nous appelons : « Oh, il y a un oiseau qui vole dans le ciel ! » est unmouvement. Nous construisons la notion d’oiseau. Ce que nous observons est unmouvement.

De la même façon, la nature de l’esprit est d’être très créative.

Pensées, émotions, sensations surgissent continuellement et nous leur attribuons des positions et des lieux, nous les juxtaposons les unes sur les autres, et par cela nous créons l’illusion de la séparation soi-autre. Bien que nous puissions dire, de manière générale, que le samsâra a débuté il y a très longtemps, si vous voulez vraiment voir le point d’émergence du samsâra, regardez dans votre propre esprit !

Et le point où le samsâra émerge est le point où personne n’est conscient de celui qui fait, pense, ressent, éprouve. Qui fait cela? Je pourrais dire: « Qui parlemaintenant? Je parle! Et c’est très simple. C’est moi ! » Je sais que je parle parce que j’aime parler. J’ai donc assez parlé pour connaître le son de ma voix lorsqu’elle sort et qu’elle entre ici dans mon oreille.

Mais il serait beaucoupmieux pourmoi de ne pas savoir qui je suis ! Parce qu’en sachant qui je suis, je deviens très paresseux et je présume que qui je pense être est qui je suis. Et ainsi, j’arrête d’observer. Et de cette façon, je passe ma vie à être un ami du samsâra.

Alors, qui fait cela? Personne ne peut me le dire, parce que faire cela est une expérience, ce n’est pas une entité. S’il ne s’agissait que de découvrir le coupable, on pourraitmener une enquête.Mais avec ce genre d’investigation, le coupable n’existe pas. On a donc besoin d’un autre type d’investigation, qui ne ressemble pas à une enquête policière. C’est une investigation amicale! Parce que si vous pouvez vous lier d’amitié avec vous-mêmes, vous embrasser et vous faire des chatouilles, vous pouvez commencer à vous détendre.

Et si vous savez très bien le faire, vous pouvez « faire l’amour » avec vous-mêmes et vous vous dissolvez complètement, et vous ne vous causez plus aucun problème. C’est le principe général du dzogchen, et ce plaisir, cette détente, ce lâcher prise, cette aise, cette confiance, cette spontanéité, ces qualités délicieuses sont la voie.

mardi 26 mars 2013

Sermon du Bouddha (Le feu)


L'incendie (ADITTAPARIYAYA-SUTTA)




Verset 21.1
Une fois, le Bienheureux séjournait à Gayasisa, près de Gaya, avec un groupe de mille disciples.


Verset 21.2
Le Bienheureux s'adressa alors à ces disciples et dit: Tout est en flammes, ô moines. Et quel est ce tout en flammes? L'oeil est en flammes. Les formes matérielles sont en flammes. La conscience visuelle est en flammes. Le contact de l'oeil avec les formes matérielles est en flammes. La sensation qui naît du contact avec les formes matérielles, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.3

Par quel feu, ô moines, cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.4

L'oreille est en flammes, ô moines. Les sons que l'oreille perçoit sont en flammes. La conscience auditive est en flammes. Le contact avec ce que l'oreille perçoit est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que l'oreille perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.5
Par quel feu cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.6
Le nez est en flammes, ô moines. Les odeurs sont en flammes. La conscience olfactive est en flammes. Le contact du nez avec les odeurs est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que le nez perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.7
Par quel feu cela est-il enflammé ? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.8
La langue est en flammes, ô moines. Les saveurs sont en flammes. La conscience gustative est en flammes. Le contact de la langue avec les saveurs est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que la langue perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.9
Par quel feu cela est-il enflammé ? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.10
Le corps est en flammes, ô moines. Les choses tangibles sont en flammes. La conscience tactile est en flammes. Le contact du corps avec les choses tangibles est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que le corps perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.11
Par quel feu cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.12
La pensée est en flammes, ô moines. Les objets mentaux sont en flammes. La conscience mentale est en flammes. Le contact de la pensée avec les objets mentaux est en flammes. La sensation naît du contact avec ce que la pensée perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.13
Par quel feu cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.14
Considérant les choses de cette façon, ô moines, le disciple intelligent est dégoûté de l'oeil, il est dégoûté des formes matérielles, il est dégoûté de la conscience visuelle, il est dégoûté du contact de l'oeil avec les formes matérielles, il est dégoûté de la sensation qui naît du contact avec les formes matérielles, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.15
Même démonstration en ce qui concerne l'oreille, les sons, la conscience auditive, le contact et la sensation; le nez, les odeurs, la conscience olfactive, le contact et la sensation; la langue, les saveurs, la conscience gustative, le contact et la sensation; le corps, les choses tangibles, la conscience tactile, le contact et la sensation. Puis le sermon continue:


Verset 21.16
Considérant les choses de cette façon, ô moines, le disciple intelligent est dégoûté de la pensée, il est dégoûté des objets mentaux, il est dégoûté de la conscience mentale, il est dégoûté du contact de la pensée avec les objets mentaux, il est dégoûté de la sensation qui naît du contact avec les objets mentaux, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.17
Lorsque le disciple intelligent en est dégoûté, il est sans désir. Lorsqu'il est sans désir, il est libéré du désir. Quand il est libéré, vient la connaissance: "Voici la libération" et il sait: "Toute naissance nouvelle est anéantie, la Conduite pure est vécue, ce qui doit être achevé est achevé, plus rien ne demeure à accomplir."


Verset 21.18
Ainsi parla le Bienheureux. Les moines, heureux, se réjouirent des paroles du Bienheureux. Pendant le déroulement de ce sermon, la pensée de ces mille disciples fut libérée complètement des souillures.

Vie après la mort


Paranormal [ La vie après la mort ] par LPDE

mardi 5 mars 2013

Les riches, les moins riches et les pas riches....


L'économie expliquée en 2 minutes et 15 secondes. par CptAnderson

L'identité ?

Une très bonne vidéo à garder dans ses classeurs.
Beaucoup de pistes.


Qu'est ce qui définit notre identité?[voyage... par grandeetoile

Eventuellement regarder aussi ce passage radio sur "Radio Ici et Maintenant" avec Wayne Liquorman au sujet de la non-séparabilité ou non-dualité en rapport à la fausse impression de division.

http://rim951.fr/?p=2394

lundi 28 janvier 2013

jeudi 24 janvier 2013

Les traces et empreintes impossibles...


Les découvertes insolites qui remettent en cause notre Histoire sur Ado FM.



Radio ADO

Ma réincarnation (film)

jeudi 17 janvier 2013

Nicole Dron et sa NDE (radio ADO)


Nicole Dron raconte une nouvelle fois son expérience avec un bon questionneur ICI.
Une bien belle âme.

jeudi 10 janvier 2013

Wolter Keers : le Moi et les pommes de terre



Pour répondre à votre question : « Pourquoi la force qui possède la mémoire vit-elle en moi ? », je dirai : vous prenez sans cesse des images et des mots, qui sont produits par la mémoire, pour vous-même.

Mais, servons-nous d’un exemple : si, après vous avoir nommé cinq sortes de pommes de terre, je vous demande : « laquelle de ces espèces préférez-vous ? »

 Réfléchissez… où est passée cette image de vous ? Partie, et elle est remplacée maintenant par des pommes de terre imaginaires !

Cette petite expérience prouve que vous n’êtes pas cette idée fictive de vous-même ; si vous l’étiez, vous la seriez toujours, 24 heures sur 24 — 365 jours par an !

 Nous venons d’apprendre que nous sommes un concept ; de découvrir (voilà un merveilleux mot, en français comme en hollandais : découvert, « enlever le couvercle ») ce que nous sommes vraiment et à partir de ce moment l’on pourra toujours vous raconter que vous êtes l’homme le plus intelligent, le plus beau ou, au contraire, un horrible individu, il n’y aura plus qu’un peu d’air passant d’ici à là, rien de moins, rien de plus.

 Source et texte entier : ICI