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mardi 26 mars 2013

Sermon du Bouddha (Le feu)


L'incendie (ADITTAPARIYAYA-SUTTA)




Verset 21.1
Une fois, le Bienheureux séjournait à Gayasisa, près de Gaya, avec un groupe de mille disciples.


Verset 21.2
Le Bienheureux s'adressa alors à ces disciples et dit: Tout est en flammes, ô moines. Et quel est ce tout en flammes? L'oeil est en flammes. Les formes matérielles sont en flammes. La conscience visuelle est en flammes. Le contact de l'oeil avec les formes matérielles est en flammes. La sensation qui naît du contact avec les formes matérielles, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.3

Par quel feu, ô moines, cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.4

L'oreille est en flammes, ô moines. Les sons que l'oreille perçoit sont en flammes. La conscience auditive est en flammes. Le contact avec ce que l'oreille perçoit est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que l'oreille perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.5
Par quel feu cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.6
Le nez est en flammes, ô moines. Les odeurs sont en flammes. La conscience olfactive est en flammes. Le contact du nez avec les odeurs est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que le nez perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.7
Par quel feu cela est-il enflammé ? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.8
La langue est en flammes, ô moines. Les saveurs sont en flammes. La conscience gustative est en flammes. Le contact de la langue avec les saveurs est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que la langue perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.9
Par quel feu cela est-il enflammé ? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.10
Le corps est en flammes, ô moines. Les choses tangibles sont en flammes. La conscience tactile est en flammes. Le contact du corps avec les choses tangibles est en flammes. La sensation qui naît du contact avec ce que le corps perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.11
Par quel feu cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.12
La pensée est en flammes, ô moines. Les objets mentaux sont en flammes. La conscience mentale est en flammes. Le contact de la pensée avec les objets mentaux est en flammes. La sensation naît du contact avec ce que la pensée perçoit, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.13
Par quel feu cela est-il enflammé? Je dis que cela est enflammé par le feu du désir, par le feu de la haine, par le feu de l'illusion; cela est enflammé par la naissance, par la vieillesse, par la maladie, par la mort, par les peines, par les plaintes, par la douleur, par le chagrin, par le désespoir.


Verset 21.14
Considérant les choses de cette façon, ô moines, le disciple intelligent est dégoûté de l'oeil, il est dégoûté des formes matérielles, il est dégoûté de la conscience visuelle, il est dégoûté du contact de l'oeil avec les formes matérielles, il est dégoûté de la sensation qui naît du contact avec les formes matérielles, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.15
Même démonstration en ce qui concerne l'oreille, les sons, la conscience auditive, le contact et la sensation; le nez, les odeurs, la conscience olfactive, le contact et la sensation; la langue, les saveurs, la conscience gustative, le contact et la sensation; le corps, les choses tangibles, la conscience tactile, le contact et la sensation. Puis le sermon continue:


Verset 21.16
Considérant les choses de cette façon, ô moines, le disciple intelligent est dégoûté de la pensée, il est dégoûté des objets mentaux, il est dégoûté de la conscience mentale, il est dégoûté du contact de la pensée avec les objets mentaux, il est dégoûté de la sensation qui naît du contact avec les objets mentaux, que ce soit plaisir, que ce soit douleur, que ce ne soit ni douleur ni plaisir, cette sensation aussi est en flammes.


Verset 21.17
Lorsque le disciple intelligent en est dégoûté, il est sans désir. Lorsqu'il est sans désir, il est libéré du désir. Quand il est libéré, vient la connaissance: "Voici la libération" et il sait: "Toute naissance nouvelle est anéantie, la Conduite pure est vécue, ce qui doit être achevé est achevé, plus rien ne demeure à accomplir."


Verset 21.18
Ainsi parla le Bienheureux. Les moines, heureux, se réjouirent des paroles du Bienheureux. Pendant le déroulement de ce sermon, la pensée de ces mille disciples fut libérée complètement des souillures.

jeudi 10 janvier 2013

Wolter Keers : le Moi et les pommes de terre



Pour répondre à votre question : « Pourquoi la force qui possède la mémoire vit-elle en moi ? », je dirai : vous prenez sans cesse des images et des mots, qui sont produits par la mémoire, pour vous-même.

Mais, servons-nous d’un exemple : si, après vous avoir nommé cinq sortes de pommes de terre, je vous demande : « laquelle de ces espèces préférez-vous ? »

 Réfléchissez… où est passée cette image de vous ? Partie, et elle est remplacée maintenant par des pommes de terre imaginaires !

Cette petite expérience prouve que vous n’êtes pas cette idée fictive de vous-même ; si vous l’étiez, vous la seriez toujours, 24 heures sur 24 — 365 jours par an !

 Nous venons d’apprendre que nous sommes un concept ; de découvrir (voilà un merveilleux mot, en français comme en hollandais : découvert, « enlever le couvercle ») ce que nous sommes vraiment et à partir de ce moment l’on pourra toujours vous raconter que vous êtes l’homme le plus intelligent, le plus beau ou, au contraire, un horrible individu, il n’y aura plus qu’un peu d’air passant d’ici à là, rien de moins, rien de plus.

 Source et texte entier : ICI

mercredi 9 janvier 2013

mercredi 12 décembre 2012

vendredi 30 novembre 2012

Qu'est ce que le SOI de la tradition Indienne ? (conf.)

Très belle et riche conférence de David Dubois (en particulier lorsqu'il aborde la notion du Soi).



Source : ICI et ICI (en bas de la page pour les conférences audios et texte : séance 11 ).

mardi 13 novembre 2012

Une mesure d’hygiène élémentaire : Stephen Jourdain

Ne pas se mentir à soi-même, toujours être parfaitement clair. Mentir aux autres, faire toutes les « saloperies » qu’on a envie de faire dans l’existence, mais ne jamais se les cacher à soi-même. 

C'est une mesure d’hygiène élémentaire mais il semblerait qu’elle ne soit pas toujours appliquée. Après ça, essayer de se dégager des préjugés d’ordre social. Et puis des préjugés plus importants, métaphysiques.

Nous sommes des colliers de préjugés. Moi je n’ai rien contre les préjugés, ni contre quoi que ce soit, je ne fais le procès d’absolument rien, mais encore faut-il que ces préjugés ne nous réduisent pas à leur malheureuse teneur intellectuelle.

Or, en général, nous ne sommes qu’un paquet de préjugés : il faut s’en décoller, prendre un peu de recul. Je fais cette suggestion, très simple, que chacun devrait tous les jours, 5 minutes pas plus, avoir un cahier où noter ses préjugés.

Il n’est jamais trop tard pour bien faire, même un moribond a intérêt à entreprendre ce type de travail.

Je pense que si on arrive à faire cela, ne pas se mentir à soi-même et constamment faire l’inventaire de ses propres préjugés, (par exemple qu’il faut absolument atteindre l’Eveil), on prendra de la distance

mardi 6 novembre 2012

jeudi 1 novembre 2012

Bhagwan Sree Rajneesh dit "Osho" (Citation)


L'aspect le plus étrange du mental est qu'il s'efface sous le rayon silencieux de la conscience profonde.

De même que la lumière chasse les ténèbres, la conscience pure disperse le contenu du mental, les pensées, les fantasmes, tous les artefacts. Autrement dit, la méditation est simplement un état de pleine conscience, d'intelligence claire non fragmentée. Cette clarté intérieure révèle la nature des choses.

Cela ne résulte pas d'une invention quelconque. Le témoin intérieur n'imagine rien. Il découvre ce qui est.

Et qu'est ce qui est? En rentrant en vous-même, vous découvrez la vacuité infinie, indiciblement belle, absolument silencieuse, débordante de lumière et de fragrance.

On l'a appelée "Dieu". Je préfère parler de votre propre essence divine. En quittant cet état de plénitude, vous ne serez plus le même homme ou la même femme.

Vous aurez totalement changé. Vous existerez sans masques, votre visage originel au grand jour.

Vous continuerez de vivre dans le même monde, mais n'y vivrez plus de la même manière. Vous côtoierez les mêmes gens, mais votre attitude sera différente.

mercredi 25 juillet 2012

Boudhisme Bön du Tibet et VST

A mettre directement en parallèle avec "la Vision sans tête" bien entendu. En + il est très drôle ce qui ne gâte rien :-)












http://www.youtube.com/user/LigminchaFrance

dimanche 24 juin 2012

Prajñâ (notion Bouddhiste importante)


Références occidentales[modifier]

Les premières traductions en Occident du terme de prajñâ adoptent le mot de "sagesse", ce qui ne recouvre pas exactement tous les sens de prajñâAlexandra David-Néel emploie la première le terme de "connaissance transcendante" (titre d'un de ses ouvrages), repris ensuite par Prajñānanda dans ses différentes études. On parle de "connaissance transcendante" car cette connaissance est supposée transcender les phénomènes. Ce terme se trouve déjà chez Schopenhauer :
La connaissance transcendante est celle qui, procédant en dehors de toute possibilité de l'expérience, s'efforce de déterminer l'essence des choses telles qu'elles sont en elles-mêmes. La connaissance immanente, en revanche, est celle qui reste dans les limites de la possibilité de l'expérience et ne peut par conséquent parler que de phénomènes. (Parerga et Paralipomena, Sur la doctrine de l'indestructibilité de notre être réel par la mort, § 141)
Un autre concept voisin, introduit par le swâmi Siddheswarânanda (et utilisé comme titre d'un de ses ouvrages français), est celui d'intuition métaphysique.

jeudi 14 juin 2012

"quand vous aurez fait un œil à la place des yeux"


"jésus vit des petits qui tétaient
il dit à ses disciples
ces petits qui tètent sont semblables à ceux qui entrent dans le royaume
ils lui dirent
alors étant petits entrerons-nous dans le royaume
jésus leur dit
quand vous aurez fait le deux un
et que vous aurez fait l'intérieur comme l'extérieur
et l'extérieur comme l'intérieur
et le supérieur comme l'inférieur
en sorte que vous fassiez le mâle et la femelle en un seul
pour que le mâle ne se fasse mâle ni la femelle se fasse femelle
quand vous aurez fait un œil à la place des yeux (*)
(...)
alors vous entrerez dans le royaume"
Evangile de Thomas

Mais aussi :

http://eveilphilosophie.canalblog.com/
et l'extérieur comme l'intérieur

Et aussi savoir être à la fois féminin et masculin.

Il y a beaucoup dans ce logion (27 dans mon édition Points Sagesse aux éditions du Seuil)  à noter quand même les traductions :
"A la place d'un oeil vous referez des yeux"

et ici :
Jésus vit des petits qui tétaient. (2) Il dit à ses disciples : Ces petits qui tètent sont comparables à ceux qui entrent dans le Royaume. (3) Ils lui dirent : Est-ce en étant petits que nous entrerons dans le Royaume ? (4) Jésus leur dit : 25 Si de deux vous faites un, que vous fassiez le dedans comme le dehors, le dehors comme le dedans, le dessus comme le dessous, (5) en sorte que vous fassiez de l’homme et de la femme un seul 30 être, si bien que l’homme ne soit pas homme et que la femme ne soit pas femme, (6) si vous faites des yeux au lieu d’un oil, une main au lieu d’une main, un pied au lieu d’un pied, une image au lieu d’une image, (7) 35 alors vous entrerez dans le Royaume.
http://www.naghammadi.org/traductions/textes/evangile_thomas.asp

samedi 9 juin 2012

Tout semblait donc bien organisé dans ce monde...



Le problème, selon moi, n'est pas seulement celui de la monnaie mais celui des lieux d'échanges : les marchés. On peut en effet constater que ces lieux sont devenus rares car les grandes surfaces ont le monopole. Il faudrait des lieux d'échange toute la semaine. Des lieux populaires où chacun peut foutre une planche et vendre sa camelote.
Ce qui ne va pas actuellement c'est que tout est interdit (surtout de vendre d'ailleurs). Il faut aller docilement acheter là où on nous demande d'aller acheter : les grandes surfaces. Ce qui fait de notre système un faux système libéral. Car le libéralisme c'est l'inverse du monopole. L'alcool c'est un monopole, le journaux un monopole, les cloppes un monopole etc... en fait on vit dans un monde totalement sous contrôle. C'est un système ouvrier en réalité. Ce qu'il faut c'est de la main d'oeuvre dans les bureaux. Tout est donc organisé pour subvenir aux besoins de la masse ouvrière en cravate et tailleur.

Un simple exemple concret : il y a des bureaux dans mon quartier et je voudrais faire des sandwichs, des salades pour le midi et le soir. Puis je le faire sans créer une entreprise ? Non.... je ne peux pas vendre sans payer le droit de vendre. Je dois donc payer d'abord pour pouvoir peut être gagner quelque chose.
Simple exemple mais qui en dit long. De + je ne peux pas vendre sans avoir un magasin pignon sur rue.

Donc ce qui est bloqué actuellement c'est la libération de la créativité. Faut connaître le droit des affaires internationales pour vendre des carrottes, avoir un expert comptable, un avocat... c'est presque risqué d'oser vendre un truc. L'aventure quoi !

Maintenant qu'on a vu ça on peut poser un regard intéressé sur ce que dit ce journaliste à la fin de la vidéo. Le but, contrairement à ce qui est affiché n'est pas d'encourager les PME / PMI dans ce pseudo monde libéral américian mais de créer des grands monopoles avec plein de sous traitants : c'est à dire la pure centralisation avec des serviteurs aux ordres. Quand on y regarde bien ça ressemble vraiment à une autre forme de socialisme mais oligarchique. Pas du tout libéral. Absolument pas. Ca fait pas longtemps que j'ai pigé ça.
Pierre Faillant de Villemarest, né à Chalon-sur-Saône le 10 décembre 1922 et mort le 22 février 20081, est un ancien résistant, membre des services de contre-espionnage français, devenu journaliste et écrivain, spécialiste des relations internationales.
Selon moi il ne faut pas rêver à un monde unifié car inévitablement ça déboucherait sur un système dictatorial. Il faut que chacun apprenne la philosophie, l'histoire de la pensée, l'histoire en général, les sciences et revenir progressivement à une vie locale. La différence avec le passé c'est qu'il est essentiel que chacun soit cultivé et puisse avoir un discours intelligent et sourcé. C'est ce qui empêchera les guerres de clocher comme ce fut le cas partout dans l'histoire. Une société locale mais éclairée et ouverte sur les autres, tolérante et intelligente.

vendredi 25 mai 2012

L'Humain (faisons le point)

Un film d'une heure et demi à regarder au calme. Je sais bien que tous ces sujets sont considérés comme de l'utopie ou des "on va pas refaire le monde", des délires immatures etc Comme si vouloir la paix le beau, le respect, la vérité étaient des rêves d'enfants... alors dans ce cas il faut assumer d'être un adulte borné et cause de souffrance et de destruction. Il faut choisir son camp. Mais soyons lucides ! peu de gens choisissent leur façon de penser et de vivre. Car pour celà il faut se reconnecter et écouter la petite voix intuitive. Ce qui est si simple.

 

Source : http://interobjectif.net/
et
http://www.youtube.com/user/CEvolutionTV

dimanche 6 mai 2012

Peter Fenner

On peut constater avec Peter Fenner comme l'éveil "non-duel" est simple à réaliser. Tant de mots, de postures, d'ego trip pour ça !

Je discutais il y a quelques jours avec une personne dans la rue et elle me disait qu'elle avait peur du vide et de l'espace en montagne (une peur panique). Je lui disais que l'espace était une voie d'éveil dans certaines traditions (bouddhistes par exemple).

Le vertige moi je l'ai aussi devant un précipice mais par contre j'adore l'espace etre les choses. La montagne est par excellence un déclencheur d'éveil car par sa masse elle impose la prise de conscience de l'espace.

Donc pas besoin d'aller payer des fortunes pour s'éveiller une promenade méditative en montagne devrait suffire. Mais Peter Fenner en parle bien. C'est bien clair dans sa tête.

Il ne s'agit donc pas de théoriser ou conceputaliser. Le terme de non dualité est selon moi très mal trouvé car il sous entend qu'il faudrait penser le monde de manière non duelle. Il n'y a rien à dire. Ce n'est pas de la spéculation mais de la réalisation. Et il n'y a donc pas a trouver le monde non duel. Devant un paysage de montagne on ne spécule pas au sujet de la dualité ou de la non dualité. On se laisse éveiller par l'espace et il n'y a pas besoin de spéculer.

Ce qui n'empêche pas de spéculer... il y a un temps pour tout.