"Peut-être ai-je été naïf sur le plan politique, mais je ne pensais tout simplement pas qu'ils iraient aussi loin... Je ne pensais pas qu'ils pourraient trouver quoi que ce soit capable de m'arrêter" |
J'espère vraiment que si c'est le cas on connaîtra la vérité. En voyant ces images à New York (comme une des ces invasives séries à la gloire de la police américaine) on ne pouvait qu'éprouver un malaise... vous savez ce même malaise que le 11 septembre... ce même malaise que je ressens en regardant la campagne brutale de Sarko... il faut que je retrouve certaines sources sur le site du réseau voltaire au sujet de Sarko, DSK et le FMI à l'époque de l'élection. Ce même malaise que je ressens en constatant le silence suspect au sujet des intérêts de la dette.
"J'AURAIS ÉTÉ LE CANDIDAT DU PS"Plus précisément, DSK indique qu'il aurait, selon lui, été mis sous la surveillance des services de renseignement français plusieurs semaines avant son arrestation. Selon Edward Jay Epstein, DSK accuse aussi des agents, liés à Nicolas Sarkozy, d'avoir intercepté des appels téléphoniques et d'avoir pris soin de s'assurer que Nafissatou Diallo avait bien déposé plainte à la police, afin de"déclencher un scandale international".Source : http://www.lemonde.fr/
Dans cet entretien, DSK - qui ne prononce toutefois aucun nom -, affirme aussi qu'il comptait faire son annonce officielle de candidature "le 15 juin". "Je n'avais aucun doute sur le fait que j'aurais été le candidat du parti socialiste", déclare-t-il.
"Peut-être ai-je été naïf sur le plan politique, mais je ne pensais tout simplement pas qu'ils iraient aussi loin... Je ne pensais pas qu'ils pourraient trouver quoi que ce soit capable de m'arrêter", explique M. Strauss-Kahn au journaliste, qui publie un ouvrage d'investigation sur ce scandale, Three Days in May : Sex, Surveillance and DSK ("Trois jours en mai : sexe, surveillance et DSK"), diffusé lundi 30 avril sur internet.
Et aussi :
Epstein ne cite pas le nom du service de renseignements français qui aurait surveillé DSK. Selon le livre Police, l'envers du décor (éditions Jean-Claude Gawsewitch) d'Alain Hamon, paru début avril, "quand le directeur du FMI venait en mission en France, les hommes du renseignement intérieur (DCRI) semblaient ne pas perdre une miette de ses déplacements". La DCRI et son patron Bernard Squarcini ont toujours affirmé qu'ils ne se livraient pas à la surveillance d'hommes politiques.Source : http://www.lemonde.fr/