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mercredi 6 mai 2015

André Comte-Sponville (Du tragique au matérialisme) Etienne Klein

André Comte-Sponville nous explique sa nouvelle vision matérialiste du monde après être passé par divers phases (philosophiques et métaphysiques)

La-conversation-scientifique (le lien podcast audio)

Philippe Cornu (Leçon de Bouddhisme vrai)

Philippe Cornu est vraiment un grand transmetteur de l'essence du Bouddhisme. Très enrichissant et vrai. Les Nouveaux Chemins de la Connaissance (13.02.2015)

vendredi 24 avril 2015

La science et l'âme du monde : Cazenave et Klein

Exemple d'un podcast tiré d'un site pas très récent mais intéressant.
Ilke Angela Marechal's Podcast 1h d'entretiens radiophoniques avec des scientifiques, artistes et philosophes, parlant de leur champ d'activité, par exemple physique quantique, astrophysique, mathématique ou sciences humaines, leurs découvertes ou hypothèses; l'interaction entres ces trois champs est un sujet récurrent, tout comme les arts y trouvent une place d'honneur. La vulgarisation souvent géniale permet à l'auditeur une d'apprentissage en bonne humeur.
http://ilke-angela-marechal.com
http://www.buzzsprout.com/1041/38569-michel-cazenave-etienne-klein-la-science-et-l-ame-du-monde

jeudi 4 décembre 2014

Introduction au Mādhyamaka (Voie du Milieu) » par Trinlay Tulku Rinpoche

« La voie du Milieu ou Mādhyamaka connue aussi comme Śunyavada (« doctrine de la vacuité ») trouve son origine dans l’interprétation de l’enseignement du Bouddha élaborée par Nāgārjuna (IIe-IIIe siècle), un moine qui fait figure d’Aristote indien. La dialectique de Nāgārjuna est ablative, réductrice et abolitive, mais aussi atemporelle, anhistorique et involutive. La grande originalité de cette dialectique est d’être à la fois formelle (aristotélicienne) et sémantique (philosophie analytique). Elle se présente comme une préparation purificatrice en vue du parfait discernement nécessaire à celui qui veut devenir Bouddha. Nous aborderons les grandes lignes de cette dialectique, en particulier la distinction des deux vérités, et par la critique des notions de l’être-en-soi et de la causalité, nous présenterons brièvement la vacuité (śūnyatā) et la coproduction conditionnée (pratītyasamutpāda). »


Trinlay Tulku Rinpoche



« Introduction au Mādhyamaka (Voie du Milieu) » par Trinlay Tulku Rinpoche from CMSG on Vimeo.

« Introduction au Vijñānavāda (Doctrine de la Conscience) » par Stéphane Arguillère from CMSG on Vimeo.

mardi 14 octobre 2014

Temps, espace, ligne de temps et relations sujet objet

Le monde de l'espace temps pourrait donc émerger de la pure relation sujet objet ?


mardi 15 juillet 2014

La volonté chez Schopenhauer



Arthur Schopenhauer a développé le concept de «volonté de vivre» (Wille zum Leben) comme un principe universel définissant la lutte fondamentale de chaque espèce pour réaliser le type qui lui est propre.

Ce vouloir-vivre spécifique passe inévitablement par un conflit constant avec les autres espèces pour préserver une forme de vie définie. La notion de «volonté de vie» n'est pas à dissocier de la notion de «volonté» chez Schopenhauer : «c'est une même chose et un simple pléonasme quand nous disons la «Volonté de vivre» au lieu de dire la «Volonté tout court».

Bichat, physiologiste français, avait lui aussi formé le concept de «vie organique», en le distinguant de celui de « vie animale », de la même façon que la volonté s'oppose à l’intellect pour Schopenhauer.

La Volonté, selon Schopenhauer, est la «chose en soi» cachée dans la profusion des phénomènes, elle est l'essence intime du monde. C'est une force, ou plutôt une puissance, aveugle et absurde, un principe dépourvu de savoir et de connaissance (au sens courant de ce terme).

Le tempérament, ou le caractère individuel fondamental (caractère qui avant d'être « individuel » est «spécifique»), se rapporte à cette Volonté originaire que ni l'habitude, ni l'éducation ne peuvent venir fondamentalement modifier. La connaissance ne s'y surajoute que par accident (selon la contingence du devenir), pour aboutir aux manifestations les plus complexes de la nature : les animaux et les êtres humains.

Cette volonté de vivre est libre (inconditionnée) dans son «être en soi», mais pas dans ses manifestations phénoménales : elle est toujours strictement soumise au principe de causalité (qui s'exerce sous la forme de l'excitation pour les végétaux et de la motivation pour les animaux et l'homme).

Il ne s'agit toutefois pas d'une idée ou d'une représentation du monde qui nous conduirait à aimer la vie, puisqu'au contraire elle s'impose d'abord à nous avec une puissance telle qu'on ne saurait décider arbitrairement de lutter contre elle, et c'est justement sous son impulsion presque irrésistible que nous en déduisons généralement ensuite -mais néanmoins par illusion- que la vie a de la valeur.

Selon Schopenhauer, seuls le sentiment esthétique, l'ascétisme religieux et la compassion pour toute la douleur du Monde, permettent de l'atténuer très partiellement, et d'échapper ainsi à la souffrance ou à la haine qu'elle ne peut manquer de susciter chez qui dispose d'un minimum de lucidité intellectuelle.

La volonté sur Wikipedia dans la philosophie ICI

vendredi 21 mars 2014

Je pense donc je suis (Descartes et les rêves et la pensée)

La signification du fameux : je pense donc je suis. Inspiré par la continuité de la pensée dans les rêves

Site dédié à Schopenhauer,


Le monde comme volonté et comme représentation

Une vidéo très bien réalisée sur sa vie et sa philosophie (indissociables)

et ici le site en question : http://www.schopenhauer.fr

En prime :

mercredi 12 mars 2014

L’origine de l’instinct (Alfred Fouillée)

"L’étude de l’instinct a un intérêt particulier pour le philosophe, parce que l’instinct est sur la limite commune du mécanisme et de l’intelligence. Les religions antiques voyaient dans l’instinct une sorte de mystère divin : le culte des animaux eut en partie son origine dans l’étonnement causé par la sagesse muette des bêtes, qui semblait supérieure à l’intelligence même de l’homme : instinct, génie, divination, semblaient choses voisines, révélant la présence d’un dieu."
Lien

jeudi 21 novembre 2013

La jubilation mélancolique de Guy Karl



En lisant ce texte de Guy Karl sur son site j'ai réalisé qu'il n'existe une vraie jubilation que dans la mélancolie, que les optimistes ne m'ont jamais apportés d'autres sentiments que la tristesse. Peut être suis je passé à côté d'un auteur ? Je conseille vivement la lecture de ceci pour qui souhaite un peu de joie, de jubilation désespérée :  

LA PROMENADE du MELANCOLIQUE : 
PHILOSOPHIE de la NON PENSEE
http://guykarl.canalblog.com/archives/2011/04/28/7134497.html

Ca peut être un peu long à afficher car c'est un livre (essai)