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vendredi 8 mai 2015

Apparition et évolution des yeux

L'oeil porte en lui des secrets. Sa création semble résulter d'un besoin ou désir de faire entrer la lumière. Par exemple. C'est un bon sujet de méditation.


vendredi 13 mars 2015

Et si, dans la nature, chacun avait simplement besoin des autres ?

Une très belle conférence qui essaye de montrer les multiples raisons de l'évolution (et remise en question de l'évolution comme amélioration) indépendamment de la sélection du plus fort : intégration de nouveaux gènes par l'alimentation, les maladies, l'amour et l'amitié entre espèces, etc. En gros tous les moyens sont bons et pas forcément une idée de but à atteindre. Ce qui m'intéresse c'est l'idée que l'évolution est simplement le résultat d'une sorte de fascination pour l'autre. L'autre c'est ce qui est en dehors de mon moi biologique : ma membrane, ma peau, ma carapace etc.
On imagine souvent les êtres vivants bien en ordre d’évolution se concentrant sur le souci reproducteur, intrépide aventure d’un vivant résolu à cette seule obsession gravissime : laisser ses gènes à une descendance impertinente. Seulement, les animaux ne racontent pas tout à fait cette histoire. Des poulpes aux perroquets, des amibes aux colobes, l’évolution ne semble jamais distinguer les meilleurs… Que s’est-il passé depuis Darwin ? Et si le sexe était ce qui introduit des détours imprévus, favorise des rencontres improbables et même des relations hybrides ? Et si, dans la nature, chacun avait simplement besoin des autres ? Une contribution originale à la biologie évolutive, dont la sexualité livre les nouveaux secrets…

lundi 4 août 2014

Origine et Homochiralité (asymétrie) du vivant (conf.)



"Les origines du vivant" vidéo de la conférence de Sébastien Charnoz, astrophysicien au CEA et Laurent Nahon, physicien au synchrotron SOLEIL, maître de conférence à l'Université Paris 7


Lien de la conférence à Saclay

Homochiralité du vivant ou l'Asymétrie des molécules biologiques (résultats Google)

jeudi 24 juillet 2014

mardi 15 juillet 2014

La volonté chez Schopenhauer



Arthur Schopenhauer a développé le concept de «volonté de vivre» (Wille zum Leben) comme un principe universel définissant la lutte fondamentale de chaque espèce pour réaliser le type qui lui est propre.

Ce vouloir-vivre spécifique passe inévitablement par un conflit constant avec les autres espèces pour préserver une forme de vie définie. La notion de «volonté de vie» n'est pas à dissocier de la notion de «volonté» chez Schopenhauer : «c'est une même chose et un simple pléonasme quand nous disons la «Volonté de vivre» au lieu de dire la «Volonté tout court».

Bichat, physiologiste français, avait lui aussi formé le concept de «vie organique», en le distinguant de celui de « vie animale », de la même façon que la volonté s'oppose à l’intellect pour Schopenhauer.

La Volonté, selon Schopenhauer, est la «chose en soi» cachée dans la profusion des phénomènes, elle est l'essence intime du monde. C'est une force, ou plutôt une puissance, aveugle et absurde, un principe dépourvu de savoir et de connaissance (au sens courant de ce terme).

Le tempérament, ou le caractère individuel fondamental (caractère qui avant d'être « individuel » est «spécifique»), se rapporte à cette Volonté originaire que ni l'habitude, ni l'éducation ne peuvent venir fondamentalement modifier. La connaissance ne s'y surajoute que par accident (selon la contingence du devenir), pour aboutir aux manifestations les plus complexes de la nature : les animaux et les êtres humains.

Cette volonté de vivre est libre (inconditionnée) dans son «être en soi», mais pas dans ses manifestations phénoménales : elle est toujours strictement soumise au principe de causalité (qui s'exerce sous la forme de l'excitation pour les végétaux et de la motivation pour les animaux et l'homme).

Il ne s'agit toutefois pas d'une idée ou d'une représentation du monde qui nous conduirait à aimer la vie, puisqu'au contraire elle s'impose d'abord à nous avec une puissance telle qu'on ne saurait décider arbitrairement de lutter contre elle, et c'est justement sous son impulsion presque irrésistible que nous en déduisons généralement ensuite -mais néanmoins par illusion- que la vie a de la valeur.

Selon Schopenhauer, seuls le sentiment esthétique, l'ascétisme religieux et la compassion pour toute la douleur du Monde, permettent de l'atténuer très partiellement, et d'échapper ainsi à la souffrance ou à la haine qu'elle ne peut manquer de susciter chez qui dispose d'un minimum de lucidité intellectuelle.

La volonté sur Wikipedia dans la philosophie ICI

mercredi 16 avril 2014

mardi 15 avril 2014

Ilya Prigogine : sa pensée (théorie des ensembles)

Ilya Prigogine (25 janvier 1917 à Moscou - 28 mai 2003) est un physicien et un chimiste belge d'origine russe. Il a reçu le prix Nobel de chimie en 1977, après avoir reçu la Médaille Rumford en 1976.
Il est connu surtout pour sa présentation sur les structures dissipatives et l'auto-organisation des systèmes, qui ont changé les approches par rapport aux théories classiques basées sur l'entropie. Ce en quoi il révèle une théorie parallèle à la théorie du chaos. Dans La Nouvelle Alliance. La métamorphose de la science, Prigogine développe la thèse suivante : la science classique considérait les phénomènes comme déterminés et réversibles, ce qui est en contradiction avec l'expérience courante. L'irréversibilité des phénomènes temporels caractéristique de la thermodynamique (non linéaire) réconcilie la physique avec le sens commun, tout en faisant date dans l'histoire de la thermodynamique.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ilya_Prigogine

Un entretien vidéo :
http://www.canal-u.tv/video/cerimes/ainsi_parle_ilya_prigogine.12870

Sur la RTBF (télé belge) :
http://www.rtbf.be/video/detail_noms-de-dieux?id=368612

mardi 25 mars 2014

mercredi 12 mars 2014

L’origine de l’instinct (Alfred Fouillée)

"L’étude de l’instinct a un intérêt particulier pour le philosophe, parce que l’instinct est sur la limite commune du mécanisme et de l’intelligence. Les religions antiques voyaient dans l’instinct une sorte de mystère divin : le culte des animaux eut en partie son origine dans l’étonnement causé par la sagesse muette des bêtes, qui semblait supérieure à l’intelligence même de l’homme : instinct, génie, divination, semblaient choses voisines, révélant la présence d’un dieu."
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