La nécessité de l’or pour les trésoreries d'entreprises
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Mon article pour Or.fr : La nécessité de l’or pour les trésoreries
d'entreprises
Il y a 37 minutes
Vidéo du Sofitel : si ça n'est pas DSK, quelle est la cause de la « danse de joie » ? |
"Simmias n'est pas convaincu par le raisonnement de Socrate selon lequel le corps serait plus apte à se désagréger et à disparaitre que l'âme en vertu de son appartenance au monde matériel (l'âme appartient au monde des Idées). Il entreprend donc une démonstration par l'absurde à l'aide d'une comparaison: il compare l'âme à une harmonie musicale et le corps à la lyre et aux cordes qui l'ont produite. Il constate alors que lorsque l'instrument est détruit l'harmonie meurt, tandis que selon le raisonnement de Socrate elle devrait subsister; l'harmonie est bien plus similaire à l'âme du monde intelligible qu'au corps du monde physique"
Quatrième de couverture :
Les lois de la physique moderne confirment les concepts qui régissent les mystiques de l'Asie : Hindouisme, Bouddhisme, Taoisme. Le Dr Capra met à notre portée le langage de la physique et nous entraîne dans un fabuleux voyage à travers l'univers des atomes et le monde de la sagesse orientale.
Il fait table rase de notre représentation fragmentaire et mécaniste du monde. L'univers devient alors un tout cohérent et harmonieux. Cadre philosophique pour la physique la plus avancée, la spiritualité orientale nous propose un "lieu" dans lequel notre être peut prendre toute sa dimension.
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Pourquoi les Etats-Unis poussent à la construction Européenne ? |
La politique monétariste :
La politique monétariste est une politique monétaire préconisée par les économistes libéraux monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman). Selon eux, la politique monétaire ne peut et ne doit avoir qu'un seul objectif : lutter contre l'inflation.
Comment ? En contrôlant la croissance de la masse monétaire afin qu'elle augmente dans les mêmes proportions que la production.
Cette politique repose sur la théorie quantitative de la monnaie, selon laquelle l'inflation vient d'une quantité de monnaie excessive par rapport aux biens et services produits.
Par quels moyens ? Il faut contrôler rigoureusement l'augmentation de la masse monétaire. Cela doit se faire par la banque centrale (il est souhaitable selon les monétaristes que celle-ci soit indépendante afin de ne pas subir les pressions des gouvernements) par une politique d'open market (voir politique monétaire) qui permet de contrôler l'émission de crédits, quelle que soit l'évolution des taux d'intérêt.
La crise européenne nous donne du temps : les investisseurs s’enfuient d’Europe et se réfugient dans les titres du Trésor américain.
Alice Rivlin
L'Évangile selon le spiritisme:
Chapitre 28.5 - Recueil de prières Spirites - Pour les malades et les obsédés
Conférence avec Pascal MERKER:
L’énergie : Liens entre la science et la spiritualité
Quéstions / Réponses:
L’épitaphe « repose en paix » sur les pierres tombales est-elle fondée ? Dans le cas contraire, pourquoi ?
En quoi consiste l’euthanasie ?
Que vont faire les esprits qui n'ont pas le choix, qui sont en état végétatif et que l on décide pour eux l'euthanasie est- ce considéré comme un suicide?
Et pour l'auteur qui le fait en croyant faire le bien. Quel seront ses dettes?
La Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France (aussi appelée loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973, et parfois, péjorativement, loi Rothschild, allusion au fait que Pompidou fut directeur général de la Banque Rothschild), est une loi votée en France sous l'impulsion de Valéry Giscard d'Estaing, alors ministre de l'Économie et des Finances, sous la présidence de Georges Pompidou.
L'article 25 de cette loi est le suivant : "le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France."
L'article 104 du traité de Maastricht et l'article 123 du traité de Lisbonne ont repris les dispositions de cet article1. D'autres pays, tels la Suisse ou l'Allemagne, ont inscrit une disposition similaire directement dans leurs textes constitutionnels.
Loi et conséquences
Cette loi modifie l'organisation de la Banque de France et affaiblit les droits du Trésor Public par rapport à celle-ci. L'article 25 interdit en effet au Trésor Public d'emprunter directement à la Banque de France à un taux d'intérêt faible ou nul, comme il en avait jusqu'alors le droit. Les gouvernements français devront dès lors trouver d'autres sources de financement, principalement en empruntant à des taux d'intérêts plus élevés aux banques privées ou encore par des emprunts nationaux. Cette loi empêche donc de mettre en œuvre des stratégies inflationnistes de type assouplissement quantitatif et empêche donc la dévaluation progressive de la monnaie corrélative à l'augmentation de l'endettement étatique.[réf. nécessaire]
Un emprunt national sera d'ailleurs émis juste après la création de cette loi. En 1973, Valéry Giscard d'Estaing met en place l'Emprunt Giscard, emprunt national à un taux d'intérêt de 7% indexé sur l'or qui sera particulièrement coûteux pour la France : les dévaluations successives du franc dans les années 1980, conjuguées à la montée des cours du métal précieux et un taux d'intérêt élevé, conduiront à ce que pour les 7,5 milliards de francs empruntés l'État dut rembourser (en intérêts et capital) plus de 90 milliards de francs.[réf. nécessaire]
Interrogé en 2008, Valéry Giscard d'Estaing déclara que « La réforme des statuts de la Banque de France, adoptée sous le mandat de Georges Pompidou et lorsque j'étais ministre des Finances, est une réforme moderne qui a transposé en France la pratique en vigueur dans tous les grands pays : il s'agissait à l'époque de constituer un véritable marché des titres à court, moyen et long terme, qu'il soit émis par une entité privée ou publique »11 et évitant ainsi "une situation d'inflation monétaire permanente".
Plusieurs personnalités politiques ont dénoncé cette loi comme un endettement volontaire de la France au bénéfice des banques privées12,13,14, le Trésor Public devant emprunter aux banques privées à des taux d'intérêts plus élevés que ceux pratiqués par la Banque centrale (Banque de France puis BCE)15, augmentant depuis lors la dette publique de la France. Ceci semble corroboré par le graphique ci-contre.
L'essayiste altermondialiste André-Jacques Holbecq estime que, par cette loi, l’État a transféré son droit régalien de création monétaire sur le système bancaire privé16. Nicolas Dupont-Aignan explique15: « Comment pouvons-nous accepter d'avoir transféré la création monétaire au secteur privé, c'est-à-dire aux banques privées ? […] Est-il normal, pour construire une autoroute, pour financer le haut débit, d'emprunter à 3% à des banques ou par des obligations alors que la banque centrale publique prête à 1% ? […] Alors même que l'on pourrait, comme la France l'a fait jusqu'en 73, avec la plus forte croissance de l'Occident, financer à un taux abordable nos équipements publics. »
En octobre 2010, Alain Colbert, du Parti de gauche, écrivait12: « La France a payé, depuis 1980, 1176 milliards d'euros d'intérêts. Sa dette actuelle s'élève à 1149 milliards d'euros. 1176 - 1149 = 27. Si la France se prêtait à elle-même, au lieu d'une dette abyssale, elle se retrouverait avec 27 milliards d'excédents.»
Selon Marine Le Pen, «depuis une loi de 1973, confirmée par les Traités européens, les marchés et les banques ont le monopole du financement de l’Etat. Notre dépendance de plus en plus forte vis-à-vis des marchés vient précisément de là : parce que c’est à eux exclusivement qu’on peut emprunter, parce qu’ils ont un monopole et qu’ils peuvent nous imposer leurs conditions, nous imposer des taux d’intérêt élevés». Elle propose l'abrogation de cette loi.
D'autre part, l'on peut aussi considérer que le rejet de cette loi est implicite dans la proposition de loi n°157 du 22 juillet 1981, présenté par un groupe de députés gaullistes, et visant à établir un «budget de croissance» financé par «création monétaire» auprès de la Banque de France
Peut-on importer le modèle allemand ? Non. La démographie Allemande est trop différente de la France. Le taux de fécondité allemand est moitié moindre qu’en France. Depuis trente ans, il y a donc davantage de décès que de naissances outre Rhin. Le pays est donc poussé à privilégier une économie de rente. La France a un besoin vital d’activité. D'ici 2060, la population allemande devrait passer de 82 millions à 65 millions d'habitants. Celle de la France devrait passer dès 2050 à 73 millions d'habitants.
En 1988, la famille Wyrick déménage dans une nouvelle maison, qui a été mystérieusement abandonnée par les propriétaires précédents. Peu de temps après, leur fille de quatre ans, Heidi commence à passer du temps avec un ami imaginaire, un vieux bonhomme nommé M. Gordy.
Selon nos informations, le chef de l’Etat français a tenté d’appeler son homologue pour l’inviter à la conférence de Paris sur la Libye
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