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samedi 12 novembre 2022

Jean-François Delfraissy en juin 2022 : une info passée inaperçue cet été

Jean-François Delfraissy avoue à présent (en été 2022) : « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion »
Mais le plus incroyable vient de ce débat organisé par La Veille Acteurs de santé dans son émission Les Contrepoints de la Santé (voir vidéo ci-dessous) où le Pr Delfraissy nous explique le plus tranquillement du monde, qu’en fin de compte, « Les vaccins actuels ont une efficacité confirmée sur la protection de formes graves [NDLR, chez les personnes avec des comorbidités], par contre ils protègent peu contre l’infection et la contagion. C’est assez contradictoire dans une certaine mesure, je l’admets, y compris pour les médecins et évidemment pour les citoyens. Je crois qu’il vaut mieux le reconnaître, simplement. On n’a pas le bon vaccin. »
Sortie le 29 juin 2022
Un Français sur deux indique avoir mal vécu ces deux années de pandémie de Covid-19, estime que le Gouvernement n’a pas bien géré la crise sanitaire et considère que, depuis, la société est plus repliée sur elle-même, selon un sondage BVA exclusif pour les Contrepoints de la Santé. Des clivages persistent également au sein de la population concernant la vaccination, l’enjeu de la santé vs la liberté ou encore, la solidité de notre système de santé pour faire face à de futures vagues.
De fait, cette crise sanitaire a eu des conséquences sur notre santé mais aussi notre vie en société.
Nous vous proposons, dans ce nouveau débat des Contrepoints de la Santé, de les explorer en présence de nos trois invités : ▪️ Jean-François Delfraissy, Président du Conseil scientifique Covid-19 & Président du Comité consultatif national d’éthique ▪️ Gérard Raymond, Président de France Assos Santé ▪️ Gaétan Casanova, Président de l’InterSyndicale Nationale des internes (ISNI)
L’État et le « Quoi qu’il en coûte » sortira-t-il grandi ou abîmé de cette crise ? Les Français comprennent-ils mieux le rôle et les missions de l’État ? Entre la solidarité et l’individualisme, qui a gagné ? Le débat scientifique a-t-il, malgré tout, gagné en cohérence ? Les ARS et les collectivités territoriales vont-elles renforcer ces nouvelles relations nées au cours de la crise ? La Sécurité sociale et l’Assurance maladie ont-elles redoré leur blason ? L’acceptation sociétale du Covid sera-telle finalement celle de la grippe ? En clair, accepterons-nous que chaque année meurent 8 à 12 000 de nos concitoyens du fait du Covid ou de la grippe ? Sans pour autant bloquer tout ou partie le pays ?
Ce sont tous ces sujets que nous passons au crible avec nos invités sans oublier de s’interroger sur la 7ème vague en cours et sur celle prévue à l’automne, la circulation des variants, la question de la vaccination et la capacité de notre système de santé à résister.
Ce débat est enregistré mercredi 29 juin dans la matinée au Café de Flore à Paris.
Merci à Françoise Millet, Nathalie Ratel, Marine Saboya et Emmanuel They pour l’organisation, la captation vidéo et la diffusion de cette émission !
Et merci à nos partenaires Groupe Point Vision, Groupe Pasteur Mutualité, Qare, Medtronic, BVA Santé, Ortus, LDC Santé et La Veille Acteurs de Santé.
Les Contrepoints de la Santé sont des petits-déjeuners-débats mensuels co-organisés par les journalistes Pascal Maurel (Ortus), Philippe Leduc (LDC Santé) et Renaud Degas (La Veille des acteurs de la Santé, Presse Infos +).
Tous les mois, des personnalités de premier plan débattent ainsi des sujets qui font l'actualité de la santé !
Covid-19 : chaque réinfection augmente le risque de complications
Une vaste étude américaine publiée jeudi dans « Nature Medicine » montre qu’une réinfection par le SARS-CoV-2 double les risques de décès et triple ceux d’hospitalisation et de problèmes cardiaques.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/11/11/covid-19-chaque-reinfection-augmente-le-risque-de-complications_6149489_3244.html

Ces éléments font inévitablement repenser au problème du refus de soigner. à la censure, la violence psychologique et sociale contre ceux qui pouvaient soigner à moindre coût. Qui sont les monstres qui se cachent derrière tout cela ?





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L'autre jour, vers 7 heures du mat. Temps superbe ! ("belle journée on dirait !"). Mais des quadrillagaes dans le ciel se forment. Dès 10 heures : couverture nuageuse. Première fois que je remarque dans mon coin.

vers 1 mn 29


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Poutine le 24/02/22
la réponse de la Russie sera immédiate et vous conduira à des conséquences auxquelles vous n’avez jamais été confrontés dans votre histoire.
La Russie pourrait-elle utiliser une arme à impulsions électromagnétiques pour paralyser l’Ukraine ?
Ces armes — conçues pour créer une puissante impulsion d’énergie qui court-circuite les équipements électriques tels que les ordinateurs, les générateurs, les satellites, les radios, les récepteurs radar et même les feux de circulation — pourraient désactiver d’un seul coup les infrastructures militaires et civiles de l’Ukraine et laisser le pays sans lumière, chaleur, communications ou transport.
https://lezarceleurs.blogspot.com/2022/11/paralyser-lukraine-avec-une-arme.html

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Elon Musk prévient que « les élites médiatiques » feront tout pour empêcher Twitter de donner le pouvoir au peuple
Beaucoup se demandent pourquoi le milliardaire Elon Musk est attaqué par l’oligarchie ?
https://lemediaen442.fr/elon-musk-previent-que-les-elites-mediatiques-feront-tout-pour-empecher-twitter-de-donner-le-pouvoir-au-peuple/ Traduction :
Alors que Twitter poursuit l'objectif d'élever le journalisme citoyen, l'élite des médias fera tout pour empêcher que cela ne se produise
Les médias grand public continueront de prospérer, mais la concurrence accrue des citoyens les amènera à être plus précis, car leur oligopole sur l'information est perturbé


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Où l’on essaie de guigner derrière les réalités de façade et de comprendre ce que les temps nous promettent, en faisant une fois de plus le pont entre l’Est et l’Ouest de ce monde déchiré.
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"Guerre d’usure", "retrait tactique": que cache le départ russe de Kherson?
Le retrait russe de Kherson est une manœuvre militaire tactique qui va permettre de se recentrer sur d’autres objectifs, expliquent des spécialistes militaires...
Le départ des troupes russes vers la rive droite du Dniepr est un mouvement stratégique, qui s’explique par diverses raisons. Ce retrait devrait notamment permettre aux forces russes de se redéployer vers des objectifs plus cruciaux, comme l’explique à Sputnik Mokhtar Saïd Mediouni, ancien colonel de l’armée de l’air algérienne.Un constat repris par Daouda Kinda, expert malien en sécurité internationale, qui rappelle que la Crimée a toujours été dans la ligne de mire de Kiev.
À l’objectif de sauver des vies militaires et civiles s’ajoute donc celui de protéger la Crimée, région historiquement russe, explique-t-il."Guerre d’usure"Le repli russe illustre aussi la stratégie de Moscou qui mise désormais sur l’usure. Garder Kherson aurait été possible, mais coûteux, explique ainsi à Sputnik Vassili Kachine, expert militaire russe.
Recentrer la ligne de front sur le Dniepr, en pilonnant en profondeur le territoire ukrainien est plus avantageux.La Russie vise à asphyxier l’Ukraine en détruisant progressivement ses infrastructures et en augmenter les coûts pour ses alliés occidentaux, ajoute-t-il.Ces dernières semaines, Moscou a notamment ciblé les centrales électriques ukrainiennes, provoquant d’importantes coupures de courant à Kiev et dans plusieurs grandes villes.
Le retrait russe de Kherson est une manœuvre militaire tactique qui va permettre de se recentrer sur d’autres objectifs, expliquent des spécialistes militaires algérien, malien et russe à Sputnik. La protection de la Crimée est, en particulier, en jeu. Le départ des troupes russes vers la rive droite du Dniepr est un mouvement stratégique, qui s’explique par diverses raisons. Ce retrait devrait notamment permettre aux forces russes de se redéployer vers des objectifs plus cruciaux, comme l’explique à Sputnik Mokhtar Saïd Mediouni, ancien colonel de l’armée de l’air algérienne.
"Ce retrait de Kherson et de la rive droite du Dniepr est un retrait tactique et même stratégique, qui permettra aux forces russes de travailler sur d’autres cibles beaucoup plus importantes […]. Je ne suis pas dans la tête des stratèges russes, mais je pense que l’armée russe est capable de gérer cette situation", déclare-t-il ainsi.
Un constat repris par Daouda Kinda, expert malien en sécurité internationale, qui rappelle que la Crimée a toujours été dans la ligne de mire de Kiev. À l’objectif de sauver des vies militaires et civiles s’ajoute donc celui de protéger la Crimée, région historiquement russe, explique-t-il.
"C’est stratégique car la Russie veut remettre le réel combat à plus tard. Parce qu’il ne faut pas l'oublier, le Président Zelensky l’a dit, Kherson n’est pas l’objectif final, c'est la Crimée qui en vue", souligne le spécialiste.
Le repli russe illustre aussi la stratégie de Moscou qui mise désormais sur l’usure. Garder Kherson aurait été possible, mais coûteux, explique ainsi à Sputnik Vassili Kachine, expert militaire russe. Recentrer la ligne de front sur le Dniepr, en pilonnant en profondeur le territoire ukrainien est plus avantageux.
"La décision de retirer les troupes découle d’une stratégie russe de guerre d'usure. Dans ce cadre, le contrôle du territoire n'est pas important, ce qui importe c’est de minimiser ses propres pertes, d'augmenter celles de l'ennemi et de détruire l'économie de l’adversaire", affirme le spécialiste.
La Russie vise à asphyxier l’Ukraine en détruisant progressivement ses infrastructures et en augmenter les coûts pour ses alliés occidentaux, ajoute-t-il.
Ces dernières semaines, Moscou a notamment ciblé les centrales électriques ukrainiennes, provoquant d’importantes coupures de courant à Kiev et dans plusieurs grandes villes.


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https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/11/comment-se-dematrixer-initiation-a-la-secession-psychique/



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dimanche 22 août 2021

Les chiffres de la mobilisation du samedi 21 août dans toute la France

Les chiffres de la mobilisation du samedi 21 août dans toute la France



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Vidéo hyperlapse de la Manif anti "Pass sanitaire" de Toulon du 21 août 2021



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