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dimanche 12 novembre 2017

Mes amis les chevreuils - Geoffroy Delorme

Pleurer sur l'épaule d'un ami, c'est fréquent mais quand cet ami est un chevreuil, on entre dans le domaine du merveilleux.

Pendant dix années, j'ai vécu en immersion totale dans la forêt domaniale de Bord-Louviers située en Normandie dans le département de l'Eure. Durant cette expédition sauvage, j'ai rencontré des animaux fabuleux qui sont devenus "ma" famille.

C'est cette incroyable histoire que je souhaite aujourd'hui partager avec vous en vous entraînant avec moi, au cœur de la forêt.

Pour vivre cette aventure, je me suis constitué un territoire sur lequel j'ai croisé différents animaux, dont les chevreuils, qui peu à peu, ont constaté que je ne leur voulait aucun mal. Je suis devenu en quelque sorte "l'hôte de la forêt".

Une grande complicité est née pour la première fois entre des Chevreuils sauvages et un Homme. Grâce à cette relation privilégiée, j'ai appris auprès des chevreuils à survivre dans un environnement hostile.

J'ai étudié leur comportement, me suis calqué sur leur rythme de vie et au bout de quelques années de vie avec eux, j'ai compris leur souffrance et leur besoins.
Depuis, je souhaite transmettre cette expérience unique avec les connaissances que j'ai acquises sur les chevreuils et la forêt.

Faire que cette aventure humaine exceptionnelle, cette nouvelle approche du monde sauvage, fondée sur le partage de la vie quotidienne, fasse réfléchir à une meilleure intégration de l'Homme dans son environnement.



https://lechevreuil.wixsite.com/geoffroy-delorme

vendredi 26 juillet 2013

jeudi 20 décembre 2012

mercredi 12 septembre 2012

Le jour ou la biosphère faillit disparaitre

Le grand nettoyage du Permien.


Les Aztèques tenaient pour certain que notre monde avait été précédé de quatre autres univers, les Quatre Soleils.


Le Premier Soleil, "naui‑ocelotl", (Quatre-Jaguar) avait pris fin dans un gigantesque massacre : les hommes avaient été dévorés par des jaguars. Le jaguar symbolise les forces telluriques ; pour les Aztèques, il correspondait à Tezcatlipoca, le dieu des ténèbres, du ciel nocturne tacheté d'étoiles comme le pelage du félin.

Le Deuxième Univers s'appelait "naui‑eecatl", (Quatre‑Vent). Quetzalcoalt, le Serpent à Plumes, dieu du vent, et rival mythique de Tezcatlipoca, fit souffler sur le monde une tempête magique. Les hommes furent métamorphosés en singes.

Thaloc, divinité bienfaisante de la pluie mais aussi dieu terrible de la foudre, détruisit le Troisième Univers "naui‑quiauitl" (Quatre‑Pluie) en le submergeant sous une pluie de feu. Il est possible que le souvenir de grandes éruptions volcaniques qui recouvrirent de cendres et de lave une partie de la vallée de Mexico un peu avant notre ère ait survécu dans ce mythe.

Enfin le Quatrième Soleil, "naui‑atl" (Quatre‑Eau), placé sous le signe de Chalchiuhtlicue, déesse de l'eau, s'acheva en un déluge qui dura 52 ans. Un homme et une femme furent sauvés, à l'abri dans le tronc d'un cyprès. Mais ayant désobéi aux ordres de Tezcatlipoca, ils furent transformés en chiens. L'humanité ne descend pas de ces rescapés du quatrième cataclysme : elle doit son existence à Quetzalcoatl. C'est en effet le Serpent à Plumes, sous la forme du dieu à tête de chien Xolotl, qui alla dérober aux enfers les ossements desséchés des morts et les arrosa de son propre sang pour leur redonner vie. Quand à notre monde, le

Cinquième Soleil, il est désigné par le signe "naui‑ollin" (Quatre‑Tremblement de Terre). Il est destiné à s'effondrer dans d'immenses séismes. Alors, les "Tzitzimime", monstres squelettiques qui habitent à l'Occident les marges de l'univers, surgiront des ténèbres et anéantiront l'humanité. Cette catastrophe finale, pensait‑on, pouvait éclater à tout instant. Rien, pour les Mexicains, ne garantissait le retour du Soleil ni la marche des saisons… A la fin de chaque cycle de 52 ans, on redoutait que "la ligature d'années" ne pût s'accomplir. Le Feu nouveau ne s'allumerait pas, tout s'effondrerait dans le chaos. La mission de l'homme en général, et plus particulièrement celle de la tribu aztèque, peuple du Soleil, consistait à repousser infatigablement l'assaut du néant. A cette fin, il fallait fournir au Soleil, à la Terre, à toutes les divinités, "l'eau précieuse" sans la quelle la machinerie du monde cesserait de fonctionner : le sang humain. De cette notion fondamentale découlent la guerre sacrée et la pratique des sacrifices humains."

Texte de Jacques Soustelle (Ethnologue)

Source ICI

mercredi 20 juin 2012

Jade Alègre : survivre en ville (2009)

« Survivre en ville quand tout s’arrête »



Jade Alègre nous livre un paquet d'astuces pour être autonome en cas de coup dur.

Vidéo à visonner ==> ici <==

Le site du livre :
 http://lhomme.et.largile.free.fr/survivre/accueil.htm

samedi 28 avril 2012

L'ortie

J'écoutais François Couplan sur Radio ici et maintenant qui disait à un auditeur qui l'interrogeait sur les plantes psychotropes dire que les plantes sauvages ont toutes une puissance. D'essayer (avec précaution) pour en comprendre la réalité.
Milarépa pratiqua la méditation pendant de nombreuses années dans le plus grand isolement dans des grottes de haute montagne et maîtrisa les transmissions qu'il avait reçues. Il vécut ainsi dans le dénuement le plus total. Il ne portait qu'un léger vêtement de coton (d'où son nom de Milarépa, Mila le "ré-pa" ou Mila le vêtu de coton) et ne se nourrissait que d'orties sauvages, à tel point que - nous dit la tradition - son corps prit une teinte verte ainsi qu'on le voit sur de nombreuses peintures.