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mercredi 27 juillet 2022

Conférence de David Elbaz : "et si l'univers avait un sens ?"

Et si l'univers avait un sens ? Par David Elbaz
19 juil. 2022 David ELBAZ, directeur scientifique du département d'astrophysique du Commissariat à l'Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA) et directeur de rédaction de la revue Astronomy et Astrophysics, dresse une vision synthétique de nos connaissances sur l'Univers à l'occasion de la parution de son dernier livre "La plus belle ruse de la lumière" lors des Rencontres du ciel et de l'espace 2021 à la Cité des sciences et de l'industrie.

Nous avons tous déjà cassé un verre mais qui, parmi nous, peut se vanter d’avoir vu des morceaux de verre s’assembler pour former un verre ? C’est apparemment impossible. Pourtant c’est ce que fait l’univers depuis 13.8 milliards d’années. « L’univers aurait pu ne pas être beau, et pourtant il est beau » interroge l’académicien François Cheng. Est-il vrai que l’univers aurait pu ne pas être beau, ou du moins structuré en formes complexes et singulières ?Et si l’univers avait un sens, au même titre que l’eau s’écoule le long d’une colline…

mardi 20 octobre 2015

Pierre Sonigo (conf. 2013) création de la vie et particules

Des arguments imparables. Pour résumer comme dans la vidéo de Jean-Jacques Kupiec il s'agit de savoir si un système fonctionne tout seul ou s'il est dicté par une logique, un démiurge, ou une intelligence au sein même des entités ou individualités. La création de la vie, du monde même peut-elle être purement mécanique et expliquée logiquement, "mécaniquement".?

Passionnant.

mercredi 22 juillet 2015

LEIBNIZ et l'explication des entités individuelles (Monades)

Leibniz


Gottfried Wilhelm Leibniz (Leipzig, 1er juillet 1646 - Hanovre, 14 novembre 1716) est un philosophe, scientifique, mathématicien, logicien, diplomate, juriste, bibliothécaire et philologue allemand qui a écrit en latin, allemand et français.
Rédigée en français en 1714 et non publiée du vivant de l’auteur, la Monadologie représente une des dernières étapes de la pensée de Leibniz. En dépit de ressemblances apparentes avec des textes antérieurs, la Monadologie se distingue assez fortement d’ouvrages comme le Discours de métaphysique ou le Système nouveau de la nature et de la communication des substances. La notion de substance individuelle présente dans le Discours de métaphysique ne doit en effet pas être confondue avec celle de monade. Source : Wikipedia

Ecouter le texte en audio

lundi 20 avril 2015

mardi 15 juillet 2014

La volonté chez Schopenhauer



Arthur Schopenhauer a développé le concept de «volonté de vivre» (Wille zum Leben) comme un principe universel définissant la lutte fondamentale de chaque espèce pour réaliser le type qui lui est propre.

Ce vouloir-vivre spécifique passe inévitablement par un conflit constant avec les autres espèces pour préserver une forme de vie définie. La notion de «volonté de vie» n'est pas à dissocier de la notion de «volonté» chez Schopenhauer : «c'est une même chose et un simple pléonasme quand nous disons la «Volonté de vivre» au lieu de dire la «Volonté tout court».

Bichat, physiologiste français, avait lui aussi formé le concept de «vie organique», en le distinguant de celui de « vie animale », de la même façon que la volonté s'oppose à l’intellect pour Schopenhauer.

La Volonté, selon Schopenhauer, est la «chose en soi» cachée dans la profusion des phénomènes, elle est l'essence intime du monde. C'est une force, ou plutôt une puissance, aveugle et absurde, un principe dépourvu de savoir et de connaissance (au sens courant de ce terme).

Le tempérament, ou le caractère individuel fondamental (caractère qui avant d'être « individuel » est «spécifique»), se rapporte à cette Volonté originaire que ni l'habitude, ni l'éducation ne peuvent venir fondamentalement modifier. La connaissance ne s'y surajoute que par accident (selon la contingence du devenir), pour aboutir aux manifestations les plus complexes de la nature : les animaux et les êtres humains.

Cette volonté de vivre est libre (inconditionnée) dans son «être en soi», mais pas dans ses manifestations phénoménales : elle est toujours strictement soumise au principe de causalité (qui s'exerce sous la forme de l'excitation pour les végétaux et de la motivation pour les animaux et l'homme).

Il ne s'agit toutefois pas d'une idée ou d'une représentation du monde qui nous conduirait à aimer la vie, puisqu'au contraire elle s'impose d'abord à nous avec une puissance telle qu'on ne saurait décider arbitrairement de lutter contre elle, et c'est justement sous son impulsion presque irrésistible que nous en déduisons généralement ensuite -mais néanmoins par illusion- que la vie a de la valeur.

Selon Schopenhauer, seuls le sentiment esthétique, l'ascétisme religieux et la compassion pour toute la douleur du Monde, permettent de l'atténuer très partiellement, et d'échapper ainsi à la souffrance ou à la haine qu'elle ne peut manquer de susciter chez qui dispose d'un minimum de lucidité intellectuelle.

La volonté sur Wikipedia dans la philosophie ICI

vendredi 21 mars 2014

mercredi 19 mars 2014

mercredi 12 mars 2014

André Gernez (cause de la maladie Alzheimer)

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L’origine de l’instinct (Alfred Fouillée)

"L’étude de l’instinct a un intérêt particulier pour le philosophe, parce que l’instinct est sur la limite commune du mécanisme et de l’intelligence. Les religions antiques voyaient dans l’instinct une sorte de mystère divin : le culte des animaux eut en partie son origine dans l’étonnement causé par la sagesse muette des bêtes, qui semblait supérieure à l’intelligence même de l’homme : instinct, génie, divination, semblaient choses voisines, révélant la présence d’un dieu."
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